Il n’y a pas de fatalité
Quoi qu’il en coûte…A grands renforts de mots, le président de la République et son gouvernement nous ont expliqué que le pays allait devoir se transformer pour ne pas revivre un nouvel épisode pandémique, que la lutte contre le virus était prioritaire et que l’économie serait tenue à bout de bras, quoi qu’il en coûte.
La gestion de la crise est une suite d’épisodes qui révèlent que le gouvernement n’a pas de boussole, l’absence de pilotage qui se concrétise chaque jour par un nombre de décès bien trop important, est flagrant.